CITATION
DIRECTE DEVANT LE TRIBUNAL
JUDICIAIRE
DE TOULOUSE.
PAR
DEVANT SA CHAMBRE CORRECTIONELLE.
L’an deux Mille VINGT & UN et le ……………………….
A
LA DEMANDE DE :
Monsieur LABORIE André né le 20 mai 1956 à Toulouse de nationalité
française, 2 rue de la forge 31650 Saint Orens « courrier transfert à
l’adresse au CCAS de Saint Orens N° 2 rue ROSA PARC 31650 Saint
Orens : article 51 de la loi N°2007 du 5 mars 2007 décret N°2007
et 2007-1124 du 20 juillet 2007 relatifs à la domiciliation des personnes sans
domicile stable.
–
PS : « Et suite à la
violation par voies de faits de notre domicile, de notre propriété le 27
mars 2008 par Monsieur TEULE Laurent et toujours occupé sans droit ni
titre par Monsieur REVENU et Madame HACOUT) »
DONNE CITATION A :
·
Mme Anne-Gaëlle
BAUDOUIN-CLERC Née le 12 janvier 1972 à Lyon (Rhône) Préfète à la
Préfecture du Puy-de-Dôme. 1 Rue d'Assas, 63000 Clermont-Ferrand
·
Maître GARRIGUES Christian huissier de justice élu
à domicile de la chambre des huissiers de justice de Toulouse 11 place
LAFOURCADE 31000 TOULOUSE.
D’avoir à se trouver à
comparaître le 19 janvier 2022 à 14 heures par-devant et à l’audience de la chambre collégiale correctionnelle du Tribunal judiciaire de TOULOUSE, siégeant en ladite
ville, au Palais de Justice, place du salin 31000 TOULOUSE.
RAPPELANT AUX SUSNOMMES
Vous êtes tenu de vous présenter personnellement à cette audience, seul ou assisté de votre avocat, soit de vous y faire représenter par un avocat, mais dans certains cas seulement. L’assistance d’un avocat est obligatoire si vous êtes atteint d’une infirmité de nature à compromettre votre défense. Si vous souhaitez être entendu et si vous estimez être dans l'impossibilité de venir à l'audience, vous devez adresser une lettre au président de la juridiction pour expliquer les raisons de votre absence. Vous joindrez à votre lettre toutes pièces justificatives. Si, à l'audience, vos raisons sont admises par la juridiction, une nouvelle citation vous sera adressée pour une audience ultérieure. Dans le cas contraire, l'affaire sera jugée malgré votre absence et celle d'un représentant. Vous pouvez demander, par lettre adressée au président de la juridiction, à être jugé en votre absence en étant représenté au cours de l’audience par votre avocat ou un avocat commis d’office. Si la juridiction estime votre comparution personnelle nécessaire, il peut renvoyer l’affaire à une audience ultérieure en ordonnant votre comparution. Vous pouvez également demander, par lettre adressée au président de la juridiction, à être jugé en votre absence en étant représenté au cours de l’audience par votre avocat ou un avocat commis d’office quand le débat sur le fond de la prévention ne doit pas être abordé et spécialement quand le débat ne doit porter que sur les intérêts civils. Vous pouvez vous faire assister par un avocat de votre choix ou, si vous en faites la demande, par un avocat commis d'office, dont les frais seront à votre charge sauf si vous remplissez les conditions d'accès à l'aide juridictionnelle. Vous pouvez demander l'assistance d'un avocat immédiatement ou à tout moment au cours de la procédure. Si vos ressources sont insuffisantes et si vous remplissez les conditions prévues par la loi n° 91-647 du 10 juillet 1991 modifiée, par le décret n° 91-1266 du 19 décembre 1991 et le décret n° 2016-11 du 12 janvier 2016 relatif au montant de l’aide juridictionnelle, vous pouvez bénéficier de l'aide juridictionnelle. Pour la demander, vous devez vous adresser au bureau d’aide juridictionnelle du tribunal judiciaire dans le ressort duquel se situe la juridiction en charge de votre affaire. Vous avez également la possibilité de bénéficier, le cas échéant gratuitement, de conseils juridiques dans une structure d'accès au droit. Vous devez comparaître à l'audience en possession des justificatifs de vos revenus ainsi que de votre avis d'imposition ou de non-imposition, ou les communiquer à l'avocat qui vous représente. Le droit fixe de procédure dû en application du 3° de l’article 1018 A du Code général des impôts peut être majoré si vous ne comparaissez pas personnellement à l’audience ou si vous n’êtes pas jugé dans les conditions prévues par les premiers et deuxièmes alinéas de l’article 411 du Code de procédure pénale. Vous devez rappeler dans toute correspondance la date, l'heure et le lieu de l'audience à laquelle vous êtes convoqué (ainsi que le numéro figurant sur la présente citation).
FAITS POURSUIVIS A L’ENCONTRE DE
:
Madame ANNE GAELLE BAUDOUIN - CLERC
I / Usurpation de fonction du Préfet de la HG .
·
Faits réprimés par l’article 433 – 12 du
Code pénal.
II
/ Corruption active et passive.
·
Faits réprimés par l’article 432-11 du code
pénal
III
/ Complicité de faux et usages de faux actes authentiques
–
Faits réprimés par l’article 441-4 du code
pénal
IV
/ Complicité article 121-7 du code pénal d’abus de confiance, escroquerie.
·
Faits réprimés par les articles 314-1 à 314-4 du code pénal.
V
/ Complicité article 121-7 du code pénal, violation de notre domicile, de notre
propriété.
·
Faits réprimés par l’article 226-4 du code pénal.
VI / Escroquerie ;
abus de confiance en bande organisée
·
Faits réprimés par l’article 314-1 du code pénal
·
L'article 313-1 du Code pénal circonstances
aggravantes visées par l'article L 313-2 du Code pénal (ex bande organisée...)
FAITS POURSUIVIS A L’ENCONTRE
DE :
Maître GARRIGUES CHRISTIAN HUISSIER
DE JUSTICE
I / Corruption active et passive.
·
Faits réprimés par l’article 432-11 du code
pénal
II / Faux et usages de faux actes
authentiques
–
Faits réprimés par l’article 441-4 du
code pénal
III / Complicité article 121-7 du
code pénal d’abus de confiance, escroquerie.
·
Faits réprimés par les articles 314-1 à 314-4 du code pénal.
IV / Complicité article 121-7 du code
pénal, violation de notre domicile, de notre propriété.
·
Faits réprimés par l’article 226-4
du code pénal.
V / Escroquerie ; abus de
confiance en bande organisée
·
Faits réprimés par l’article 314-1 du code pénal
·
L'article 313-1 du Code pénal circonstances
aggravantes visées par l'article L 313-2 du Code pénal (ex bande organisée...)
PLAN
·
I / En préambule.
·
II / Pour éviter toutes contestations.
·
III / Les faits Incontestables poursuivis à l’encontre de Madame Anne Gaelle BAUDOUIN-CLERC.
·
IV / Les faits poursuivis à l’encontre de Maître GARRIGUES Christian huissier de justice.
·
V / Les différentes
saisines des autorités restées sans réponse.
·
VI / L’absence de prescription pénale.
·
VII / L’absence de prescription civile.
·
VIII / Les préjudices causés dont
réparation est demandé.
·
IX / Demandes fondées sur l’action pénale.
·
X / Demandes fondées
sur l’action civile.
·
XI / Par ces Motifs
·
XII / Bordereau de pièces.
·
XIII / Toutes les procédures pénales encours.
·
XIV / Toutes les inscriptions de faux en principal.
I / EN PREAMBULE POUR INFO
Je rappelle que le parquet de Toulouse, indivisible
par sa nature a facilité les auteurs et complices à accomplir de tels faits
poursuivis.
·
Les faits sont
incontestables au vu des preuves apportées « Causant
un réel trouble à l’ordre public »
Le parquet de Toulouse s’est refusé de mettre
l’action publique en mouvement :
·
Une complicité
réelle, sur le fondement de l’article 121-7 du code
pénal.
De tels agissements du parquet de Toulouse sont confirmés
encore une fois par la chambre de l’instruction en son arrêt du 5 novembre 2020 :
Qui dénature l’objet des poursuites en son rapport
par une fausse situation juridique exposée et de tels agissements dans le seul
but de faire obstacle à la manifestation de la vérité.
·
Plainte
au C.S.M contre ces Magistrats. « Pièces N° 1 »
·
Faux rapport
initié à la demande du parquet de Toulouse.
·
Ce dernier qui
est à l’origine de la détention arbitraire de Monsieur LABORIE André en février
2006.
·
De tels
agissements dans le seul but de faciliter les auteurs et complices des faits
poursuivis dans cet acte.
·
De tels
agissements pour faire obstacle à une instruction.
·
Monsieur LABORIE
est l’un des propriétaires de l’immeuble situé au N° 2 rue de la Forge n’est
qu’une des victimes.
Pour
que le tribunal mette fin à la situation actuelle.
La chambre de
l’instruction,
Pour avoir auto-forgé un
faux rapport en indiquant que Monsieur TEULE Laurent a été nommé adjudicataire
alors que c’est sa tante Madame D’ARAUJO épouse BABILE Suzette.
Je précise que ce jugement d’adjudication n’existe
plus, consommé, il a été inscrit en faux en principal en juillet 2008
conformément aux règles de droit, jamais contesté par les parties.
·
De
tels agissements de la chambre de l’instruction pour couvrir le juge
d’instruction qui s’est refusé d’instruire à la demande du Procureur de la
République de Toulouse.
S’il y a des
contestations sur les écrits de Monsieur LABORIE André, ouvrir les débats pour
parfaire à la manifestation de la vérité.
Cette information :
Est portée à la connaissance du tribunal pour
établir que les faits poursuivis contre les auteurs et complices sont incontestables,
faits établis par toutes les preuves matérielles apportées.
De tels agissements effectués en bande très
organisée mis en place pendant que Monsieur LABORIE André était mis en
détention arbitraire préméditée par le parquet de Toulouse et sur des chefs de
poursuites auto-forgés pour le besoin de la cause.
Encore à ce jour depuis 2006 les voies de recours qui
ont été enregistrées par les services du ministère de la justice, n’ont jamais
été audiencées par le parquet.
Une action bien préméditée par les auteurs et complices.
Une détention
arbitraire en prévision du détournement
de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE. »
·
Les instigateurs
poursuivis vous les retrouverez dans un dossier Parquet : N°
19351000359 « Pièce N° 2 »dont
citation par voie d’action de Monsieur LABORIE André.
·
Les bénéficiaires
poursuivis vous les retrouverez dans un dossier Parquet : N° 19029000036 « Pièce N° 3 » dont citation par voie d’action de Monsieur
LABORIE André.
·
Les complicités poursuivies
vous les retrouverez dans un dossier Parquet : N° 19130000034 « Pièce N° 4 » dont citation par voie d’action de Monsieur
LABORIE André.
·
Les notaires
impliqués sous le couvert du parquet de Toulouse dont citation par voie
d’action de Monsieur LABORIE André. « Pièce N° 5 »
Pourquoi encore à ce jour de tels
obstacles à la manifestation de la vérité par les autorités toulousaines ?
·
Même
le tribunal saisi dans ces affaires se refuse de juger les affaires par des
moyens dilatoires.
·
Le
Président du BAJ de Toulouse depuis 2004 fait obstacle à la manifestation de la
vérité en rejetant les nombreuses demandes d’aides juridictionnelles pour
empêcher Monsieur LABORIE André de faire entendre ses droits par un avocat ainsi
qu’un huissier de justice pour signifier les actes.
Un réel obstacle encore
une fois justifié par une ordonnance de refus d’AJ du 11 mai 2021, N° BAJ : 2021/010320. « Pièce
N° 6»
·
Le
BAJ se substituant à un tribunal dans le seul but de faire encore une fois
obstacle à la manifestation de la vérité.
En conséquence :
Au vu du silence des autorités judiciaires et
administratives régulièrement saisies.
Monsieur LABORIE André compétent en la matière se
retrouve contraint de mettre l’action publique en mouvement pour faire cesser
les différents troubles à l’ordre public dont il se retrouve encore une des
victimes.
Monsieur LABORIE André demande la réparation de ses
préjudices subis sur le fondement de l’article 1382 ancien, article
1240 du code civil et demande au tribunal :
·
Que la loi soit
appliquée pour tous sans discrimination entre les parties, sur des faits
réprimés par le code pénal.
·
Ainsi que la
cessation des différents troubles à l’ordre public, en son usage permanent de
faux actes authentiques.
Pour toutes contestations
contraires et pour parfaire à la manifestation de la vérité :
·
Il est demandé
au tribunal qu’il ne me soit fait aucun obstacle à la manifestation de la
vérité.
Monsieur LABORIE André
met l’action publique en mouvement en citant par voie d’action des parties
devant le tribunal judiciaire en son audience correctionnelle.
·
Action qui
équivaut à un réquisitoire du procureur de la république, ce dernier se devant
être joint à la partie civile.
II
/ POUR EVITER TOUTES CONTESTATIONS ( RAPPEL)
LA
RESPONSABILITE DELICTUELLE DE L’HUISSIER DE JUSTICE.
Responsabilité délictuelle. – En cas de manquement à ses
obligations d’officier public, la responsabilité délictuelle du notaire est
engagée (Cass. 1re civ., 2 juill. 2014, n° 13-19.798 : JurisData n° 2014-015295 ; Resp. civ. et assur. 2014, comm.
348). Notons que le devoir de conseil
imposé par la jurisprudence est également sanctionné par la responsabilité
délictuelle ;
Les officiers publics et ministériels regroupent :
·
Les avocats
au Conseil d'État et à la Cour de cassation, les commissaires-priseurs
judiciaires, les greffiers des tribunaux de commerce, les huissiers de
justice et les notaires. Chaque corps d'officier est réglementé, il
existe toutefois des dispositions communes
I. - Conditions générales de régularité
des actes d'huissier de justice
6. – Force probante – Dans la mesure où les conditions
légales ont été respectées, l'acte d'huissier de justice a la force probante d'un acte authentique (C. civ., art. 1317). En conséquence, la partie qui entend
contester la véracité de l'une des mentions doit s'inscrire en faux contre l'acte (CPC, art. 303 s. – Cass. 2e civ.,
18 févr. 1966 : Bull. civ. 1966, II, n° 222. – Cass.
2e civ., 7 oct. 1966 : Bull. civ. 1966, II, n° 836. –
J. Laborde, L'exequatur d'un certificat de non-paiement en Allemagne
établi par un huissier français : Rev. huissiers 1999, n° 4, p. 240).
En
l’espèce :
Tous
les actes rédigés par Maître Christian GARRIGUES ont été inscrits en faux en
principal.
·
Ces
actes ont tous été consommés par lui mêmes et ses clientes.
Inscription
de faux en principal :
Par procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre tous les actes effectués par la
SCP GARRIGUES et BALUTEAUD huissiers de justice N° enregistrement :
08/00029 au greffe du T.G.I de Toulouse le 23 juillet 2008. « Pièce N°
*Dénonce par huissiers de justice aux
différentes parties et enrôlé au greffe.
Un
délit permanant une infraction instantanée :
– Prescription
de l'action publique relative au faux
– Le faux appartient à la catégorie
des infractions instantanées (Cass. crim.,
3 mai 1993, n° 92-81.728 : JurisData n° 1993-001341 ; Bull. crim. 1993, n° 162. – Cass. crim.,
19 mai 2004, n° 03-82.329 : JurisData n° 2004-024412). Conformément aux
exigences inscrites aux articles 7
et 8 du Code de procédure pénale, le délai de prescription de l'action
publique court à compter de la réalisation du faux ou, si l'on préfère de
"la falsification" (Cass. crim., 31 mars 1992, n° 91-83.799),de
"l'établissement" (Cass. crim., 3 mai 1993,
n° 92-81.728 : Bull. crim. 1993,
n° 162. – Cass. crim., 14 févr. 2006, n° 05-82.723 : JurisData
n° 2006-032643) ou de « la confection » du faux (Cass. crim., 14 mai 2014, n° 13-83.270 : JurisData
n° 2014-009641). De façon constante, la chambre criminelle se refuse
à admettre le report du point de départ du délai de prescription de l'action
publique au jour de découverte de la falsification par celui qui en a été la
victime (Cass. crim., 31 mars 1992,
n° 91-83.799. – Cass. crim., 3 mai 1993,
n° 92-81.728 : Bull. crim. 1993,
n° 162. – Cass. crim., 21 févr. 1995,
n° 94-83.038. – Cass. crim., 19 mai 2004, n° 03-82.329 : JurisData
n° 2004-024412. – Cass. crim., 25 mai
2004 : Dr. pén. 2004, comm. 183, obs. M. Véron.
– Cass. crim., 3 oct. 2006,
n° 05-86.658. – Cass. crim., 14 nov. 2007, n° 07-83.551)... alors même que le
faux – et l'usage de faux (V. infra n° 54) –
"procèdent pourtant par un maquillage de la réalité qui les rend
compatibles avec la qualification d'infraction clandestine [...]" (G. Lecuyer,
La clandestinité de l'infraction comme justification du retard de la
prescription de l'action publique : Dr. pén. 2005, étude 14).
Prescription de l'action publique
relative à l'usage de faux
– L'usage de faux appartient à la
catégorie des infractions instantanées (Cass. crim., 8 juill. 1971 : Bull. crim. 1971, n° 227. – Cass.
crim., 15 nov. 1973, n° 70-92.683 : Bull. crim. 1973, n° 227 ; D. 1971, somm. p. 150. – Cass. crim., 4 nov. 1988, n° 87-84.293. – Cass. crim., 26 mars 1990, n° 89-82.154. – Cass. crim., 27 mai 1991, n° 90-80.267 :JurisData n° 1991-001830 ; Bull. crim. 1991, n° 222. – Cass. crim., 17 mars 1992, n° 91-80.550. – Cass. crim., 3 mai 1993, n° 92-81.728 : JurisData n° 1993-001341 ; Bull. crim. 1993, n° 162. – Cass. crim., 30 mars 1999, n° 98-81.301 : Bull. crim. 1999, n° 58. – Cass. crim., 19 janv. 2000,
n° 98-88.101 : Bull.
crim. 2000, n° 32 ; RTD com. 2000,
p. 738, obs. B. Bouloc. – Cass. crim., 11 janv. 2001,
n° 00-81.761). De façon constante, la chambre criminelle énonce que
le délit d'usage de faux se prescrit à compter du dernier usage de la pièce
arguée de faux (Cass. crim.,
8 juill. 1971 :
Bull. crim. 1971, n° 227. – Cass. crim., 15 nov. 1973, n° 73-90.797 : Bull. crim. 1973, n° 422 ; Gaz. Pal. 1974, 1, p. 130. – Cass. crim., 4 nov. 1988, n° 87-84.293. – Cass. crim., 17 mars 1992, n° 91-80.550. – Cass. crim., 25 nov. 1992, n° 91-86.147 : Bull. crim. 1992, n° 391. – Cass. crim., 30 mars 1999, n° 98-81.301 : Bull. crim. 1999, n° 58. – Cass. crim., 19 janv. 2000,
n° 98-88.101 : Bull.
crim. 2000, n° 32 ; Dr. pén. 2000, comm. 73 obs. M. Véron.
– Cass. crim., 11 janv. 2001,
n° 00-81.761. – Cass. crim., 21 nov. 2001,
n° 01-82.539. – Cass. crim., 30 janv. 2002, pourvoi n° 00-86.605 ; addeCass. crim., 30 juin 2004,
n° 03-85.319. – Cass. crim., 14 févr. 2006, n° 05-82.723 : JurisData
n° 2006-032643. – Cass. crim., 10 sept. 2008, n° 07-87.861 – Cass. crim., 22 janv. 2014, n° 12-87.978 : JurisData
n° 2014-000609. – Adde C. Guéry, De l'escroquerie et de l'usage de faux envisagés
sous l'angle d'un régime dérogatoire à la prescription de l'action
publique : D. 2012, p. 1838). Tout comme à propos du faux (V.
supra n° 61), la chambre
criminelle se refuse à admettre le report du point de départ du délai de
prescription de l'action publique relative à l'usage de faux au jour de
découverte par la victime de la falsification (Cass. crim., 27 mai 1991, n° 90-80.267 : JurisData
n° 1991-001830 ; Bull. crim. 1991,
n° 222. – Cass. crim., 25 mai 2004,
n° 03-85.674).
Soit pour la répression
suivante par le code pénal :
Art.441-4. du code pénal - Le faux commis dans
une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné
par l'autorité publique est puni de dix ans d'emprisonnement et de
150 000 € d'amende.
.
– L'usage
du faux mentionné à l'alinéa qui précède est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 € d'amende lorsque
le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de
l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans
l'exercice de ses fonctions ou de sa mission.
III
/ LES FAITS INCONTESTABLES DE ANNE GAELLE BAUDOUIN-CLERC
Mme Anne-Gaëlle BAUDOUIN-CLERC Née le 12 janvier 1972 à Lyon (Rhône)
· A usurpé les fonctions du
préfet de la HG en 2008.
En deux décisions prises sur de fausses informations collectées,
·
En date du 27 décembre 2007 : « Pièce N°7 »
·
En date du 28
janvier 2008 «
Pièce N°8 »
Madame Anne Gaëlle
BAUDOIN-CLERC agent public a agi sans aucune délégation de signature du Préfet
de la HG.
Ce qui a été confirmé
dans une autre affaire dans un arrêt de la cour administrative de Bordeaux
indiquant par le préfet de la HG que cette dernière avait obtenu la délégation
de signature que le 4 juillet 2008.
·
« Ci-joint »
Ci-joint arrêt du 19 novembre 2009 N° 09BX00273. « Pièce N°9 »
Deux décisions illégales
ont été rendues ordonnant le concours de la force publique à Maître GARRIGUES
Christian à l’assister pour expulser à la demande de Monsieur TEULE Laurent, Monsieur
et Madame LABORIE de leur propriété, de leur domicile en date du 27 mars 2008.
La mise en exécution
d’actes a été obtenue par la fraude au cours d’une détention arbitraire.
·
Rendues sans un quelconque débat contradictoire,
violation des articles 14-15-16 du cpc et 6 & 6-1
de la CEDH
De tels faits sont
réprimés par le code pénal.
— Le délit d’usurpation de fonction se trouve à l’article 433 – 12 du Code
pénal.
Délit contre
l’autorité de l’État « est puni de trois ans d’emprisonnement et de
45 000 euros d’amende le fait, par toute personne agissant
sans titre, de s’immiscer dans l’exercice d’une fonction publique en
accomplissant l’un des actes réservés au titulaire de cette fonction ».
Parmi les
fonctions publiques protégées figurent :
·
Celle de magistrat, de fonctionnaire de police,
d’administrateur civil, d’huissier de justice, de notaire, de fonctionnaire
d’un ministère, de greffier, de commissaire — priseur, de maire, de préfet, de
secrétaire général ou de directeur général de chambre des métiers, d’autorités
militaires, etc.
En conséquence, Madame
Anne Gaëlle BAUDOIN-CLERC a facilité et s’est rendue
complice au vu de l’article 121-7 du code pénal de
Monsieur TEULE Laurent à occuper sans droit ni titre notre domicile, notre
propriété par voie de fait. « violation de notre domicile, violation de notre propriété avec toutes les conséquences
préjudiciables aux intérêts de Monsieur et Madame LABORIE et ses ayants
droit. »
PS :
Aucune juridiction administrative n’a voulu statuer sur l’illégalité des deux
décisions prises ordonnant le concours de la force publique.
·
Le Conseil d’Etat par décision du 28 mars 2018 a
condamné l’Etat français à la somme de 2000 euros à verser à Monsieur LABORIE André. «
Pièce N°9 bis »
Monsieur LABORIE André n’ayant pu obtenir réparation des préjudices et
nullité des décisions
·
Plainte a été déposée à Monsieur le Président de la République en date du 21
juillet 2018 « Pièce N°10 »
·
Plainte a été déposée à Monsieur le ministre de l’intérieur en date du 4
avril 2015 « Pièce N°11 »
·
Plainte a été déposée à Monsieur le ministre de l’intérieur en date du 17
juin 2019 « Pièce N°12 »
·
Par l’intermédiaire du
Ministre de l’intérieur, Monsieur le Préfet de la HG a été informé.
Le Préfet de la HG par courrier du 19 septembre 2019 m’informe qu’au vu de
l’indépendance de la justice il ne pouvait rien faire. «
Pièce N°13 »
La juridiction toulousaine comme la juridiction parisienne se refuse
d’instruire les plaintes régulièrement déposées.
Refus d’instruire à la demande du procureur de la république et comme l’indique
le juge d’instruction en son ordonnance du 19 décembre 2019. « Pièce N°14 »
·
Soit plainte depuis 2008 restées sans suites.
Dernier acte du 5 novembre 2020 rendu par la chambre de l’instruction près
la cour d’appel de Toulouse usurpant le rapport d’une fausse situation
juridique pour couvrir les auteurs et complice et faire obstacle à la
manifestation de la vérité. « Pièce N°15 »
Devant de tels faits graves une plainte a été déposée contre
les magistrats qui ont rendu une telle décision corroborant par faux et usages
de faux l’ordonnance de refus d’informée rendu le 20 décembre 2019 à la demande
du procureur de la République de Toulouse. « Pièce N°16 »
En conséquence Monsieur LABORIE André est fondé de mettre l’action publique
en mouvement par voie d’action en les faisant citer directement devant la
juridiction correctionnelle contre les auteurs et complices.
·
Pour faire
cesser le trouble à l’ordre public toujours existant, l’usage de faux en
écritures.
·
Pour faire
appliquer les sanctions pénales contre les auteurs et complices.
·
Pour obtenir
réparation des préjudices causés.
Tous
les faits contres les personnes à ce jour poursuivis
ne sont pas prescrits :
·
Voir chapitre
l’absence de prescription pénale chapitre VI.
·
Voir chapitre
l’absence de prescription pénale chapitre VII.
En
conséquence :
·
Tous
les chefs poursuivis ne peuvent être contestés.
IV
/ LES FAITS INCONTESTABLES DE GARRIGUES CHRISTIAN.
HUISSIER
DE JUSTICE.
Maître
GARRIGUES Christian en tant que personne physique à violé par voie de
fait :
La
propriété de Monsieur et Madame LABORIE située au N° 2 rue de la forge 31650 à Saint
Orens de Gameville en date du 27 mars 2008 et suivant
·
En
demandant l’assistance de la gendarmerie de St Orens.
Cette
assistance a été obtenu par corruption dans ces deux décisions auprès d’un
agent public du cabinet du préfet de la Haute Garonne.
Cet
agent public était Madame Anne Gaelle BAUDOUIN-CLERC qui a usurpé les fonctions
du préfet de la HG dans ces deux décisions rendues.
Pour
éviter toutes contestations :
·
Il
est produit deux arrêts de la cour administrative d’appel de Bordeaux indiquant
que Madame Anne Gaelle BAUDOUIN- CLERC a obtenu la délégation du préfet
seulement le 8 juillet 2008. « Pièces N°9 »
Maître
GARRIGUES Christian s’est refusé de porter à la connaissance de Monsieur et
Madame LABORIE la décision du 8 janvier 2008 rendue illégalement par Madame
Anne Gaelle BAUDOUIN- CLERC. « Pièces N°8 »
·
De
tels agissements de Maître GARRIGUES Christian pour faire obstacle à la saisine
du tribunal administratif de Toulouse et pour en demander la suspension.
En
conséquence une violation de notre domicile de notre propriété par
préméditation en faisant usage de faux actes.
Une
intention délibérée de Maître GARRIGUES Christian qui avait été informé par
courrier recommandé des contestations soulevées par Monsieur LABORIE André à sa
sortie de détention arbitraire, en septembre 2007.
Contestations portées à la Connaissance de Maître
GARRIGUES Christian après de nombreux harcèlements verbaux de ce dernier. « Pièce N°17 »
Une corruption passive certaine, au vu du courrier du
21 juin 2007 de la SCP DUZAN - BOURASSET, conseil de Monsieur TEULE Laurent.« Pièce N° 18 »
Voie
de fait certaine :
La
non vérification de la signification du jugement d’adjudication rendu le 21
décembre 2006 ayant permis aux mandants d’obtenir par la fraude une ordonnance
d’expulsion en date du 1er juin 2007 sur de fausses information
produites et usant et abusant que Monsieur LABORIE André soit détenu sans aucun
moyen de défense et sans aucune pièce produite.
En
faisant valoir au tribunal que :
Le
jugement d’adjudication avait été signifié le 15 et 22 février 2007 à Monsieur
et Madame LABORIE au N° 2 rue de la forge 3150 Saint Orens.
Alors
que :
·
Monsieur LABORIE
André était incarcéré à la maison d’arrêt de SEYSSES.
·
La grosse du
jugement a été obtenue postérieurement au 14 et 22 février 2007 c’est-à-dire le 27 février 2007.
·
Qu’il ne peut
exister de signification sans la grosse.
·
Le courrier de
la SCP d’huissier du 9 mars 2007 indiquant de la non signification du jugement
d’adjudication.
En
conséquence la voie de fait est établie :
L’article 809 du code de procédure civile en ses termes.
·
Civ. 2e, 7 juin 2007: Bull. civ. II, n° 145; D. 2007. AJ 1883 (prise de possession de
locaux sans signification préalable du jugement d'adjudication
et d'un titre d'expulsion constituant une voie de fait).
Vol
de tous nos meubles et objets :
Maître
GARRIGUES Christian qui s’est
installé dans notre propriété, dans notre domicile en date du 27 mars 2008 par
voie de fait.
Il
était assisté de la gendarmerie de St Orens à la demande de l’huissier après
que celui-ci a obtenu par corruption une décision par la fraude « illégale » en date du 8 janvier 2007, ordonnant le
concours de la force publique.
Maître
GARRIGUES Christian a ordonné sans le consentement de Monsieur et Madame
LABORIE l’enlèvement de tous nos meubles et objets.
·
Justifiant le
vol de ces derniers qui n’ont pu être récupérés.
Le procès-verbal d’expulsion
justifiant les dires « Pièce N°19 »
Maître
GARRIGUES Christian a laissé dans la rue Monsieur et Madame LABORIE, « SDF »
Maître
GARRIGUES Christian a changé toutes les serrures.
Que
ce procès-verbal d’expulsion a été inscrit en faux en
principal avec ses actes subséquents :
·
Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre tous les actes effectués par la
SCP GARRIGUES et BALUTEAUD huissiers de justice N° enregistrement :
08/00029 au greffe du T.G.I de Toulouse le 23 juillet 2008.« Pièce N°20 »
En
conséquence :
·
La violation de
domicile qui réprimée par le code pénal :
·
Le vol de tous
les meubles et objet qui est réprimé par le code pénal.
Tous
les chefs poursuivis ne peuvent être contestés.
V
/ LES DIFFERENTES SAISINES DES AUTORITES
Plainte
déposée à la gendarmerie de St Orens en date du 27 mars 2008 « Pièce N°21 »
Les
autres plaintes restées sans suites :
·
Trop nombreuses
pour qu’elles soient produites cependant elles sont enregistrées au Parquet de
Toulouse.
Plaintes
au doyen des juges de Toulouse.
Ordonnance de référé du 25 mars 2008 se refusant de
statuer me renvoyant sur la juridiction parisienne. « Pièce N°22 »
Plaintes
au doyen des juges de PARIS.
·
En date du 2
juillet 2008 « Pièce N°23 »
·
En date du 1er septembre 2008 « Pièce N°24 »
·
En date du 22
décembre 2010 « Pièce N°25 »
·
En date du 17
septembre 2013 « Pièce N°26 »
·
En date du 15
janvier 2014 « Pièce N°27 »
Ordonnance
de refus d’informer « compétence territoriale « Pièce N°28 »
De
retour devant la juridiction toulousaine :
Plainte en date du 6 septembre 2015. « Pièce
N°29 »
Plainte en date du 8 septembre 2016. « Pièce N°30 »
Plainte en date du 14 août 2018. « Pièce N°31 »
Ordonnance en date du 20 décembre 2019 « refus
d’informer » : « Pièce N°32 »
· Refus d’informer à la demande du Procureur
de la République.
Confirmé par l’arrêt du 5 novembre 2020 « Pièce
N°33 »
· Rendu par la chambre de l’instruction prés la cour d’appel de Toulouse qui confirme
l’ordonnance de refus d’informer à la demande du parquet et sur un faux rapport
établi et pour couvrir les actes des notaires et autres.
La flagrance de complicité de la Chambre de
l’instruction de la cour d’appel de Toulouse qui a détourné toute la situation
juridique par de faux éléments en son rapport, de tels agissements pour
étouffer les différentes plaintes.
Monsieur LABORIE André a été contraint de porter
plainte auprès du C.S.M et contre plusieurs magistrats de la chambre de
l’instruction « Pièce N°34 »
VI / L’ABSENCE DE PRESCRIPTION PENALE
L’absence de
prescription pénale est réelle.
Cour de
cassation, criminelle, Chambre criminelle, 22 janvier 2014, 12-87.978, Inédit
Le
délit d'usage de faux se prescrit à partir du dernier usage délictueux de la
pièce arguée de faux.
Actuellement
et depuis juillet 2008 les actes contre les auteurs poursuivis sont toujours
consommés.
En
l’espèce les actes de Maître GARRIGUES Christian qui
ont été inscrits en faux en principal en date du 23 juillet 2008.
·
Je rappelle que Maître GARRIGUES
Christian a perçu de fortes sommes d’argent de son client justifiant une
corruption passive.
Les
actes de Maître GARRIGUES Christian sont utilisés encore à ce jour par ceux
qui occupent notre domicile.
En conséquence, absence de prescription pénale.
VII / L’ABSENCE DE PRESCRIPTION CIVILE
EN REPARATION DES
PREJUDICES
L’action civile est liée
à la procédure pénale de ce fait il ne peut y avoir de prescription pour
demander réparation des préjudices causés.
Jurisprudence de la cour de cassation :
Cour de cassation chambre criminelle
Audience publique du mercredi 5 février 2014
N° de pourvoi: 12-80154
ECLI:FR: CCASS:2014:CROOl73
Publication: Bulletin criminel 2014, nô 35
Décision attaquée: Cour d'appel de Saint-Denis de la Réunion, du 14 décembre 2011
· Titrages et résumés : APPEL
CORRECTIONNEL OU DE POLICE
- Appel de la partie civile - Relaxe du prévenu en première instance - Pouvoirs de la juridiction d'appel - Réparation du dommage résultant de la faute civile du prévenu relaxé - Caractérisation d'une infraction pénale à l'encontre du prévenu relaxé (non)
En l’espèce les faits
poursuivis sont établis contre Maître GARRIGUES Christian auteur des faux
actes, preuves matérielles incontestables inscrits en faux en principal et dénoncés
aux auteurs et complices.
·
Quand bien même pour X Raison, les parties relaxées se
doivent d’indemniser les préjudices causés aux victimes sur le fondement de
l’article 1240, ancien 1382 du code civil, une obligation constitutionnelle.
VIII / LES PREJUDICES CAUSES DONT REPARATION EST DEMANDE
Préjudices : 14 années de souffrance
morales des victimes, d’obstacles à l’accès à un juge, à un tribunal par
corruption active et passive établie des auteurs et complices.
·
En l’espèce de Maître GARRIGUES Christian dans une procédure
d’urgence devant le juge des référés : « Pièce N°35 »
· Victimes : Monsieur
et Madame LABORIE et leurs ayants droit.
Préjudices : Séparation de
Monsieur et Madame LABORIE au vu de ces faits, destruction de toute la famille.
Préjudices : Complicité de
violation de domicile en date du 27 mars 2008 réelle par les actes frauduleux inscrits
en faux en principal dont le rédacteur est Maître GARRIGUES Christian.
Préjudices : Complicité de vol de
tous les meubles et objet du domicile en date du 27 mars 2008 par des actes
frauduleux inscrits en faux en principal dont le rédacteur est Maître GARRIGUES
Christian.
Préjudices : Complicité d’avoir
facilité le détournement de notre propriété pour une somme de 500.000
euros, somme reprise dans le dernier acte du 5 juin 2013.
Préjudices : La perte de la Chance.
Il est de bon droit,
pour ces préjudices que Monsieur LABORIE André demande en réparation :
· La somme de 1.500.000
euros :
La nullité des actes rédigés par Maître GARRIGUES Christian étant de droit dès
l’inscription de faux en principal en date du 28 juillet 2008.
Je précise que ces actes ont tous été consommés, dénoncés aux parties et
plaintes déposées à plusieurs autorités compétentes.
·
Sans qu’aucune contestation n’ait été soulevée par les auteurs et
complices.
Je demande que soit préservé
l’action civile aux autres victimes.
IX / DEMANDES FONDEES SUR
L’ACTION PENALE
En
l’occurrence, Les infractions poursuivies à l’encontre
de :
·
Madame
Anne - Gaëlle BAUDOUIN- CLERC
·
Maître GARRIGUES Christian Huissier de
justice à Toulouse.
Monsieur
LABORIE André fait remarquer au Tribunal :
Que ces agissements d’usages de faux en écritures authentiques constituent un
trouble à l’ordre public, une infraction instantanée imprescriptible par sa
consommation permanente.
·
Ce trouble doit être arrêté par
une peine exemplaire compte tenu des circonstances qui en découlent et afin de
les dissuader à renouveler de tels agissements.
Il n’est pas admissible
de supporter plus longtemps un tel comportement de :
·
Madame Anne -Gaëlle BAUDOUIN- CLERC
·
Maître GARRIGUES
Christian Huissier de justice à Toulouse.
Ces derniers qui nuisent à
la sécurité juridique du droit à la propriété, à une valeur constitutionnelle, à
un droit fondamental.
Aucune circonstance
atténuante ne peut être accordée aux prévenus au vu des preuves matérielles
apportées et au vu de leur fonction.
Monsieur LABORIE André fait remarquer au Tribunal :
Que ces agissements d’usages
de faux en écritures authentiques constituent un trouble à l’ordre public.
· Les éléments constitutifs de la corruption sont établis. Car la corruption implique un accord entre la personne
qui corrompt et la personne corrompue. Les deux
personnes agissent en connaissance de cause, c’est la raison pour laquelle
d’ailleurs elles sont toutes les deux en infraction. On parle de « pacte
de corruption ». Pour qu'il y ait condamnation, il faut que l'on
puisse prouver l'existence de cet accord.
Pour qu’il y ait corruption, il faut également qu’il y
ait un lien de causalité entre l’action du corrompu et la contrepartie
de cette action. Il faut que ce soit pour la contrepartie, que le corrompu
réalise son acte. Cette contrepartie peut prendre différentes formes : un
don, un cadeau, un logement gratuit, un prêt sans intérêt, etc.
·
Les corrompus ont
bien réalisés les différents actes sous le couvert de leur impunité par le
parquet de Toulouse régulièrement informé par différentes plaintes restées sans
suite et pour les relations ci-dessus reprises entre les parties.
Madame
Anne -Gaëlle BAUDOUIN- CLERC a bien été récompensée, nommée préfète.
·
De ce fait la corruption
est établie et incontestable.
Maître GARRIGUES Christian Huissiers de justice à Toulouse a été protégé de
toutes poursuites pénales et civiles jusqu’à ce jour.
·
De ce fait la corruption passive
et active est établie et incontestable.
LES
TEXTES REPRESSIFS
I
/ Usurpation de fonction du Préfet de la HG .
Répression :
·
Faits réprimés par l’article 433 – 12 du Code pénal.
Délit contre
l’autorité de l’État « est puni de trois ans d’emprisonnement et de
45 000 euros d’amende le fait, par toute personne agissant
sans titre, de s’immiscer dans l’exercice d’une fonction publique en
accomplissant l’un des actes réservés au titulaire de cette fonction ».
Parmi les
fonctions publiques protégées figurent :
·
Celle de magistrat, de fonctionnaire de police,
d’administrateur civil, d’huissier de justice, de notaire, de fonctionnaire
d’un ministère, de greffier, de commissaire — priseur, de maire, de préfet, de
secrétaire général ou de directeur général de chambre des métiers, d’autorités
militaires, etc.
II
/ Corruption active et passive.
Répression :
·
Article 432-11 du code pénal.
Corruption passive et trafic d'influence commis par des personnes
exerçant une fonction publique
|
LES PLAINTES AU DOYEN DES JUGES DE PARIS " Cliquez " |
PIECE N° 23 :
Plaintes
au doyen des juges de PARIS.
·
En date du 2
juillet 2008 « Pièce N°23 »
PIECE N° 24 :
Plaintes
au doyen des juges de PARIS.
·
En date du 1er septembre 2008 « Pièce N°24 »
PIECE N° 25 :
Plaintes
au doyen des juges de PARIS.
·
En date du 22
décembre 2010 « Pièce N°25 »
PIECE N° 26 :
Plaintes
au doyen des juges de PARIS.
·
En date du 17
septembre 2013 « Pièce N°26 »
PIECE N° 27 :
Plaintes
au doyen des juges de PARIS.
·
En date du 15
janvier 2014 « Pièce N°27 »
PIECE N° 28 :
Doyen
des juges de PARIS.
·
Ordonnance de
refus d’informer « compétence territoriale « Pièce N°28 »
DE RETOUR A TOULOUSE / LES PLAINTES AU DOYEN DES JUGES " Cliquez " |
PIECE N° 29 :
De
retour devant la juridiction toulousaine :
Plainte en date du 6 septembre 2015. « Pièce N°29 »
PIECE N° 30 :
De
retour devant la juridiction toulousaine :
Plainte en date du 8 septembre 2016. « Pièce N°30 »
PIECE N° 31 :
De
retour devant la juridiction toulousaine :
Plainte en date du 14 août 2018. « Pièce N°31 »
PIECE N° 32 :
De
retour devant la juridiction toulousaine :
·
Ordonnance en date du 20 décembre
2019 « refus d’informer » : « Pièce N°32 »
PIECE N° 33 :
De
retour devant la juridiction toulousaine :
·
Arrêt du 5 novembre 2020 « Pièce N°33 »
PIECE N° 34 :
De
retour devant la juridiction toulousaine :
·
Plainte auprès
du C.S.M et contre plusieurs magistrats de la chambre de l’instruction « Pièce N°34 »
PIECE N° 35 :
Préjudices : 14 années de souffrance
morales des victimes, d’obstacles à l’accès à un juge, à un tribunal par
corruption active et passive établie des auteurs et complices.
·
En l’espèce de Maître GARRIGUES Christian dans une procédure
d’urgence devant le juge des référés : Obstacle
à la procédure. « Pièce N°35 »
XIII
/ Les procédures pénales en cours contre les auteurs et complices.
N°
PARQUET : N° 19351000359 « Prévenus »
· La SCP
d’avocats Regis
MERCIE ; Elisabeth FRANCES ; Marc JUSTICE-ESPENAN, dont le siège est
au 29 rue de Metz, 31 TOULOUSE. « France ». Pris
en la personne de son représentant légal. Siret (siège) 34080881500013
· La SCP d’avocats DUSAN - BOURRASSET –
CERRI, dont le siège est au 12
Rue Malbec, 31000 Toulouse. « France ». Pris en
la personne de son représentant légal. Siret ( siège) 78411824200022
TOUTE LA
PROCEDURE " Cliquez "
|
N°
PARQUET : N° 19130000034 « Prévenus »
· Maître Philippe GOURBAL
Avocats au Barreau de TOULOUSE, Résidence Agora 2
Chemin Henri Bosco, 31000 Toulouse. :
· Maître
MARTINS-MONTEILLET Frédéric Avocat au Barreau de Toulouse, 12 BIS
Rue de la Sainte-Famille, 31200 Toulouse
TOUTE LA
PROCEDURE " Cliquez "
|
N°
PARQUET : N° 19029000036
Monsieur TEULE Laurent de nationalité française, né le 16 juillet 1981 à
Toulouse, sans profession, demeurant 51 Chemin des Carmes 31400 TOULOUSE
· Et
venant aussi aux droits en tant que Légataire universel de Madame
D’ARAUJO épouse BABILE née le 21 avril 1928 à FUMEL (Lot et Garonne) ayant
demeurée au 51 chemin des Carmes 31400 Toulouse. « Décédée en
février 2012).
&
Monsieur Guillaume Jean Régis REVENU,
Ingénieur, Né à PARIS (75018) le 7 décembre 1971. Célibataire demeurant au N° 2
rue de la Forge 31650 Saint Orens.
Madame Mathilde Claude Ariette HACOUT, Docteur
en pharmacie, Née à LE HAVRE (76600) le 15 août 1970 demeurant au N° 2 rue de
la Forge 31650 Saint Orens.
TOUTE LA
PROCEDURE " Cliquez "
|
CITATION
A L’ENCONTRE DE : « Acte en cours de
signification »
· LA SCP CAMPS et
CHARRAS Notaires 8 rue Labéda à Toulouse. « France ». Pris
en la personne de son représentant légal / SIRET
(siège) : 34229360200021
· LA SCP DAGOT, MALBOSC
Notaires 6 place Wilson à Toulouse. « France ». Pris
en la personne de son représentant légal / SIRET (siège)
41851866800011
TOUTE LA
PROCEDURE " Cliquez "
|
XIV / TOUS LES
PROCES VERBAUX D’INSCRIPTIONS DE FAUX EN PRINCIPAL « Actes déjà consommés »
ENREGISTRES AU
GREFFE DU T.G.I DE TOULOUSE.
VALANT ACTES
AUTHENTIQUES.
Pièce N°I / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre un jugement de subrogation
rendu le 29 juin 2006 N0 enregistrement : 08/00026 au greffe du T.G.I
de Toulouse le 08 juillet 2008. " CLIQUEZ "
***
Pièce N°II / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre une ordonnance rendu le 1er juin
2007 N° enregistrement : 08/00028 au greffe du T.G.I de Toulouse le
16 juillet 2008. " CLIQUEZ "
***
Pièce N°III / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre deux actes notariés du 5 avril
2007 et du 6 juin 2007 N° enregistrement : 08/00027 au greffe du
T.G.I de Toulouse le 8 juillet 2008. " CLIQUEZ "
***
Pièce N°IV / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre tous les actes effectués par la
SCP GARRIGUES et BALUTEAUD huissiers de justice N° enregistrement :
08/00029 au greffe du T.G.I de Toulouse le 23 juillet 2008. " CLIQUEZ "
***
Pièce N°V / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre un acte notarié du
22 septembre 2009 N° enregistrement : 22/2010 au greffe du T.G.I de
Toulouse le 9 août 2010.
" CLIQUEZ "
***
Pièce N°VI / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre différentes ordonnances de
référés en matière de mesures provisoires N° enregistrement :
12/00020 au greffe du T.G.I de Toulouse le 2 mai 2012. " CLIQUEZ "
***
Pièce N°VII / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels dans différents dossiers et contre
différents jugements rendus par le juge de l’exécution N°
enregistrement : 12/00023 au greffe du T.G.I de Toulouse le 30 mai
2012. " CLIQUEZ "
***
Pièce N°VIII / Procès-verbal
d’inscription de faux intellectuels contre plusieurs arrêts rendus par la
cour d’appel de Toulouse. N° enregistrement : 12/00022 au greffe du T.G.I
de Toulouse le 30 mai 2012. " CLIQUEZ "
***
Pièce N°IX / Procès-verbal
d'inscription de faux intellectuels contre différentes publications effectuées
à la conservation des hypothèques de Toulouse, N° enregistrement N° 12/00029 au
greffe du T.G.I de Toulouse le 25 juillet 2012." CLIQUEZ "
***
Pièce N°X / Procès-verbal
d'inscription de faux intellectuels contre un jugement rendu par le juge de
l’exécution le 3 octobre 2012, par Madame ELIAS - PANTALE au T.G.I de Toulouse,
enregistré sous le N° 12/00038 au
greffe du T.G.I de Toulouse le 31 octobre 2012. " CLIQUEZ "
***
Pièce N°XI / Procès-verbal
enregistrant une inscription de faux intellectuels contre une décision du 1er
octobre 2012 rendue par la préfecture de la HG et contre une ordonnance du 15
mars 2013 rendue par le tribunal administratif de Toulouse, enregistré sous le N° 13/00025 au greffe du T.G.I de Toulouse le
7 mai 2013. " CLIQUEZ "
***
Pièce N°XII / Procès-verbal
d'inscription de faux en écritures publiques, faux en principal contre: Un acte notarié en date du 5 juin 2013
effectué par Société Civile Professionnelle dénommée "Michel DAGOT,
Jean-Michel MALBOSC-DAGOT et Olivier MALBOSC-DAGOT & Maître Noël
CHARRAS Notaires à Toulouse ; enregistré sous le N° 13/00053 au greffe du T.G.I
de Toulouse le 30 octobre 2013. " CLIQUEZ "
***
Pièce N°XIII / Publication à la conservation des hypothèque de
l’inscription de faux contre l’acte notarié du 5 juin 2013.
PS :
Vous retrouverez la
procédure sur mon site destiné à toutes les autorités judiciaires et
administratives. http://www.lamafiajudiciaire.org
· Ce
site existe depuis plus de 14 années pour parfaire à la
manifestation de la vérité ou vous pouvez consulter les pièces et les imprimer
à votre convenance :
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suivant :